En espérant que la théorie soit suivie de pratique... Par contre les produits qui ont été testés et qui sont déjà sur le marché y resteront, alors soyons vigilants et continuons à consommer des produits étiques qui nous donnent des garanties et pour qui cela est une évidence et engagement de valeur et non une obligation légale.
Cela est néanmoins une grande victoire pour les défenseurs des animaux. Pour ma part je rêve du moment où la médecine aura suffisamment évolué pour se passer de tout test sur les animaux, car avec les tests pratiqués par les industries utilisant des produits hautement toxiques, ils sont de loin les plus douloureux, voire inutiles d'après de nombreux scientifiques...
Voici un article daté du 11 mars et trouvé sur les Echos.fr, je vous le met en copie car je le trouve très explicatif avec une photo très chouette !
À savoir qu' Israël à fait voter une loi passée le 1er Janvier 2013, qui bannit à la vente et à l'importation, tout produit cosmétique ET ménager. Bravo !
Je vous rajoute une pétition pour compléter car on soupçonne l' Oréal de détourner la loi depuis longtemps et de faire tester en Chine par des intermédiaires, ni vu, ni connu ! Imparable au plan légal, puisque leur responsabilité n'est pas officiellement engagée, mais moralement inacceptable si cela s'avère vrai, alors montrons-leur qu'on n'est pas d'accord et qu'on ne baisse pas la garde ! D'autant que si une marque a les moyens d'utiliser et développer les méthodes substitutive, c'est c'est bien eux, alors montrons-leur le chemin ! Pour info, Garnier, Kerastase, Dark &Lovely, Redkin, La Roche-Posay, Sanoflore, Cadum, même Body Shop racheté pour se refaire une image et beaucoup d'autres appartiennent à l'Oréal, alors renseignez-vous...
http://www.causes.com/actions/1729349-stop-animal-testing?recruiter_id=184562197&token=CMhvM5YO0yAFFLutwykulDMp&utm_campaign=activity_invitation_mailer%2Factivity_invitation&utm_medium=email&utm_source=causes
Les
associations de défense des animaux ont été entendues : la mise sur le
marché de cosmétiques testés sur des animaux est désormais interdite en
Europe. - AFP
La
date sera marquée d'une pierre blanche par les associations de défense
des animaux. La Commission européenne a confirmé ce lundi l'entrée en
vigueur de l'interdiction totale de mise sur le marché en Europe de
cosmétiques faisant l'objet au préalable d'une expérimentation animale.
La mesure s'applique depuis ce lundi aussi bien aux produits qui seront
conçus en Europe qu'à ceux venant de pays tiers, qui devront donc
recourir à des méthodes alternatives de tests pour pouvoir être
commercialisés dans l'UE. En revanche, les cosmétiques qui ont pu par le
passé faire l'objet d'une expérimentation animale, avant l'entrée en
vigueur de cette législation, ne sont pas concernés et pourront rester
en vente.
Bruxelles n'a donc pas tenu
compte des critiques de l'industrie et a mis fin à un feuilleton entamé
il y a neuf ans. En 2004, une première interdiction avait touché tous
les produits finis. Puis, en 2009, la mesure avait été étendue aux
ingrédients qui composaient ces cosmétiques.
Il
restait encore quelques dérogations pour certains tests rares et bien
particuliers. Ce sont ces dernières exceptions qui ont été abandonnées
par la Commission, qui dit avoir voulu « donner un signal fort de l'attachement européen au bien-être animal », selon Tonio Borg, le commissaire européen en charge des Questions de santé et des Politiques de consommation.
Les médicaments pas concernés
L'exécutif
européen rappelle que, avant 2004, environ 9.000 animaux (des rats, des
souris, des cochons d'Inde ou des lapins le plus souvent) avaient été
utilisés pour tester des produits cosmétiques. Ils pourront en revanche
toujours être utilisés pour la mise au point de médicaments, qui ne sont
pas concernés par ces mesures.
Ce signal
envoyé ce lundi ne devrait pas éteindre complètement la polémique
autour du bien-fondé de l'interdiction totale. L'industrie cosmétique
-qui pèse 70 milliards d'euros en Europe -a plusieurs fois rappelé que,
dans certains cas, aucune alternative n'avait encore été trouvée à
l'expérimentation animale pour la mise au point des produits. Bruxelles
reconnaît le problème, parlant de « conséquences dans certains cas
quand les entreprises ne seront pas capables de se conformer aux tests
de sécurité et donc devront renoncer à utiliser certains ingrédients ». Mais l'exécutif européen assure que l'impact négatif est « difficile à mesurer » et qu'il sera de toute façon moindre que les effets positifs pour le bien-être animal.
Comme
gage donné à l'industrie, Bruxelles promet de maintenir son effort de
recherche pour trouver des solutions alternatives de tests. Près de 240
millions d'euros de fonds européens ont été investis en la matière entre
2007 et 2011
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